Hypertrophie musculaire : comment prendre du muscle ? (Partie 2)

Infos et conseils | 18 Minute(s) à lire | Publié 13 oct. 2019 15:32:00

Si vous avez choisi de pratiquer la musculation, votre objectif est très certainement de développer votre masse musculaire. Or, il peut être difficile de déterminer la méthode et le programme d’entraînement qui vous permettra d’atteindre cet objectif sans un minimum de connaissances préalables.

En effet, savez-vous comment fonctionnent vos muscles, ce qu’est l’hypertrophie musculaire et comment vos entraînements pourraient la provoquer ?

Ces connaissances préalables sont d’autant plus importantes que, sans un travail d’appropriation et d’adaptation à vous et vos caractéristiques propres, la plupart de ces programmes pourront s’avérer inefficaces dans la durée ou tout simplement inadaptés à la pratique naturelle de la musculation.

C’est pour cela que dans un article précédent, nous avons commencé à faire le point de manière simple et synthétique afin de comprendre comment fonctionne l’hypertrophie musculaire et comment la provoquer pour prendre du muscle.

Ainsi, pour une meilleure compréhension de ce qui suit, je vous invite à consulter dans un premier temps la partie 1 de ce guide sur l’hypertrophie musculaire : « Découvrez tout ce que vous devez savoir sur l’hypertrophie musculaire pour prendre du muscle (partie 1) »

L’hypertrophie musculaire : Comment la provoquer ?

Pour rappel, l’hypertrophie musculaire est l’augmentation du volume de vos muscles provoquée par l’augmentation du volume de vos fibres musculaires (cellules musculaires). Or, à travers l’entrainement, cette hypertrophie s’accompagne d’une augmentation de votre niveau de force et d’endurance physique.

 

Mais alors, l’hypertrophie musculaire, comment ça marche ?

 

L’hypertrophie musculaire est le résultat d’une réaction adaptative des muscles. En effet, suite à un effort musculaire très important et inhabituel, votre corps va provoquer une synthèse protéique (synthèse anabolique de protéines musculaires) afin de développer et renforcer vos muscles dans le but de supporter plus facilement un nouvel effort similaire. On parle également de surcompensation.
Pour le formuler autrement, si vos muscles sont contraints de réaliser un effort plus intense que ce qu’ils ont l’habitude de supporter :

  1. Leurs fibres subissent un stress (une stimulation, une tension) important qui leur infligent des micro-lésions et un épuisement de leurs réserves d’énergie.
  2. Ils auront alors besoin de se régénérer (récupérer), c’est-à-dire recharger leurs réserves d’énergie et réparer les dommages qu’ils ont subis grâce à du repos et des nutriments.
  3. Or, en provoquant une synthèse protéique pendant leur récupération, votre corps leur permettra de se développer et de se renforcer afin de devenir plus forts et plus résistants pour encaisser plus facilement un potentiel nouvel effort similaire. Il s’agit de l’adaptation musculaire.

Ainsi, vous devez retenir que les 3 facteurs primordiaux de la prise de masse musculaire sont :

  • Un entraînement en musculation avec une intensité et un volume suffisants pour stimuler suffisamment vos fibres musculaires afin de provoquer une adaptation musculaire.
  • Une alimentation adaptée et de qualité pour permettre à votre corps d’obtenir suffisamment d’énergie (de calories) et de nutriments nécessaires (protéines, glucides, lipides, etc.) pour réaliser un entraînement efficace puis régénérer vos muscles en provoquant une synthèse protéique.
  • Une récupération suffisante et de qualité pour permettre à vos muscles de bénéficier de suffisamment de temps pour se régénérer complètement et efficacement.

Pour vous aider, retrouvez notre article : « Quelles sont les bonnes habitudes pour bien dormir ? »

 

Cependant, comment l’entraînement peut-il provoquer cette fameuse adaptation musculaire ?

 

Concernant vos entraînements, vous devez retenir qu’il existerait 5 facteurs principaux à optimiser pour la prise de masse musculaire. Les plus importants seraient la tension de contraction, le temps sous tension et la tension d’étirement qui constituent « la tension mécanique ».

Pour rappel, la réalisation d’un exercice de musculation se compose d’un nombre de séries, elles-mêmes composées d’un nombre de répétitions, dont une répétition correspond à la réalisation d’un mouvement de contraction (phase positive ou concentrique) puis de décontraction musculaire (phase négative ou excentrique). Avant et après la contraction musculaire, il s’agit d’une phase dite isométrique ou statique.

 

1. La tension de contraction et la surcharge progressive

La tension de contraction est le niveau de résistance exercé par une charge sur vos muscles, pendant la phase positive d’un mouvement, c’est-à-dire pendant la phase de contraction musculaire vous permettant de pousser, tirer ou soulever une charge.

L’hypertrophie musculaire résulte alors de la réalisation d’une surcharge progressive, c’est-à-dire une augmentation, séance après séance, du poids des charges que vous utilisez pour réaliser vos exercices de musculation.

Ainsi, vous augmentez progressivement l’intensité de vos entraînements pour continuellement provoquer des adaptations musculaires et éviter la stagnation. En effet, si votre organisme s’habitue à un certain niveau de tension musculaire (d’intensité), il n’aura plus besoin de provoquer d’adaptation musculaire et donc d’hypertrophie.

A noter que si vous ne pouvez plus augmenter le poids de vos charges sans dégrader la qualité d’exécution des exercices (la technique), la surcharge progressive peut également se traduire par une augmentation du nombre de répétitions ou de séries (volume d’entraînement).

 

2. Le temps sous tension

Le temps sous tension est la durée de stimulation exercée sur vos muscles pendant une série d’un exercice de musculation. Or, plus ce temps sous tension sera long, plus votre prise de masse musculaire pourra être importante à condition que la tension de contraction soit suffisamment élevée.

En effet, l’hypertrophie peut ainsi résulter d’une augmentation de la durée de vos répétitions ou de votre nombre de répétitions par série. Cependant, une série trop longue avec un poids trop léger ou une série trop courte avec un poids trop lourd limitera votre potentiel d’hypertrophie. Cela correspondra plus à des entraînements pour développer respectivement votre endurance ou votre force musculaire.
De plus, il serait surhumain de continuellement augmenter le poids de vos charges tout en augmentant la longueur de vos séries et la durée de vos répétitions.

De ce fait, l’enjeu sera de trouver un bon compromis en utilisant une charge suffisamment lourde vous permettant de réaliser un nombre suffisant de répétitions par série avec un tempo d’exécution adéquat.

 

3. La tension d’étirement

La tension d’étirement est tout simplement le stress exercé par une charge sur vos muscles pendant la phase négative d’un mouvement, c’est-à-dire pendant la phase d’étirement (décontraction) des muscles qui vous ont permis de pousser, tirer ou soulever votre charge.

Pour provoquer de l’hypertrophie musculaire, il s’agira alors de retenir votre charge pendant la phase négative du mouvement afin d’augmenter encore plus l’intensité de la stimulation musculaire et des micro-lésions induites par l’entraînement.

Il s’agit d’un facteur très important car, ralentir la phase d’étirement du muscle en retenant la charge, augmente également la durée de votre répétition et donc le temps sous tension.

Cependant, plus vous ralentissez la phase d’étirement du muscle, plus il s’épuise et plus il aura des difficultés à se contracter à nouveau pour réaliser une nouvelle répétition.

De ce fait, l’enjeu sera à nouveau de trouver un bon compromis entre le poids des charges, le nombre de répétitions et le tempo d’exécution.

Concernant les 2 derniers facteurs ci-dessous, les avis divergent, mais ils seraient un peu moins importants pour l’hypertrophie musculaire. Cependant, cela ne signifie pas qu’il faut les négliger car, encore une fois, nous sommes tous différents donc nous sommes plus ou moins sensibles à ces diverses formes de stimulation. Le mieux, c’est alors d’expérimenter.

 

4. Le stress métabolique

Le stress métabolique ou brûlure musculaire est un processus physiologique qui, du fait de l’entraînement, se traduit par une accumulation de métabolites dans les muscles, comme le lactate (forme ionisée de l’acide lactique).

En effet, sans rentrer dans les détails des filières énergétiques, quand vos muscles restent sous tension sur une trop longue période, la contraction des cellules musculaires réduit la taille de leurs capillaires sanguins de telle façon que l’évacuation de l’acide lactique n’est plus suffisante. C’est ce qui provoque leur accumulation dans les muscles et la sensation de brûlure musculaire.

Or, ce processus occasionne un stress important à vos muscles qui, pour mieux le supporter, surcompenseront en provoquant une hypertrophie musculaire.

De ce fait, pour espérer occasionner un stress métabolique, il faut réaliser un nombre assez important de répétions avec des temps de repos relativement courts entre les séries. Ainsi, vous devrez manipuler des charges plus légères que celles que vous utilisez pour provoquer une tension mécanique. Il serait donc préférable d’appliquer ce type de stress à la fin de vos séances d’entraînement.

 

5. La congestion

La congestion musculaire est un processus étroitement lié au stress métabolique. Elle se traduit par un afflux important de sang dans les muscles causé par l’entraînement. Elle est particulièrement appréciée des bodybuilders car elle permet de bien ressentir les muscles et de les rendre visuellement beaucoup plus gros temporairement.

Concernant l’hypertrophie à plus long terme, elle peut s’expliquer par :

  • Un apport plus important de nutriments et d’oxygène dans le muscle du fait de l’afflux sanguin. Cela se traduit par plus d’énergie, une meilleure récupération et donc une meilleure synthèse protéique.
  • La déformation inhabituelle des muscles (augmentation de leur volume), vécue comme une agression par votre organisme qui voudra alors surcompenser pour les renforcer. En effet, la congestion se traduit par une forte tension exercée sur les parois des fibres musculaires.

Cependant, l’intérêt principal de la congestion serait de réussir à mieux ressentir vos muscles difficiles à développer (vos points faibles) afin de mieux les stimuler. En effet, la congestion favorise la connexion entre votre esprit et vos muscles. Or, les points faibles sont plus difficiles à ressentir et à isoler naturellement.

Pour provoquer une congestion, il vous faudra réaliser des séries longues (au moins 20 répétitions) avec des charges légères en privilégiant les exercices d’isolation (monoarticulaires) et de préférence à la fin de votre séance d’entrainement.

Hypertrophie musculaire : Comment vous entraîner ?

L’hypertrophie musculaire induit par l’entraînement est le résultat d’un bon équilibre entre « la tension absolue » exercée sur vos muscles (la tension de contraction et d’étirement) et « le temps sous tension ».

 

Mais alors, comment obtenir le bon équilibre ?

 

En fait, cet équilibre dépendra essentiellement de vous et vos caractéristiques propres, donc vous devrez faire de nombreux tests jusqu’à obtenir la combinaison (méthode et programme) qui vous correspond. Le but est de progresser dans la durée et donc de ne pas abandonner au bout d’un mois.

En effet, tout dépendra par exemple de votre niveau de pratique, de votre capacité de récupération, du temps que vous pourrez consacrer à vos entraînements, etc.

Cependant, pas de panique ! Il existe des données repères qui pourront vous aider à structurer au mieux votre programme d’entraînement en fonction de vos besoins et de vos capacités.

Retenez seulement que :

  • Quel que soit votre programme, tant que vous progressez avec, cela signifie que c’est celui qui vous correspond donc ne vous comparez pas aux autres et ne les copiez pas.
  • Tant que vous progressez, faites preuve de discipline et continuez à suivre votre programme jusqu’à ce que vous n’ayez plus de résultat.
  • La régularité est la clé du succès en musculation !

 

Quelles sont alors ces données repères ?

 

Tout d’abord, même s’il ne s’agit pas d’une science exacte, ce qui fait toujours consensus est que :

  • Entre 1 et 5 répétitions par série, vous aurez tendance à travailler la force physique en sollicitant davantage votre système nerveux et vos fibres de type II.
  • Entre 15 et 20 répétions (voire plus), il s’agira plutôt d’un travail d’endurance avec un accent sur les fibres de type I.
  • De ce fait, c’est entre 6 et 15 répétitions par série que vous auriez le plus de chance de provoquer une hypertrophie musculaire.

A noter qu’il pourra être intéressant de varier le nombre de répétitions pour un travail complet de vos muscles.

 

Qu’en est-il de l’entraînement spécifique pour la prise de masse musculaire ?

 

Le poids idéal de vos charges se situerait entre 60 et 80% de votre Répétition Maximale (RM) pour un exercice donné. Il s’agit d’un pourcentage du poids des charges avec lequel vous ne pouvez réaliser qu’une seule répétition.

Cela correspondrait à un poids suffisamment lourd pour réaliser au maximum :

  • Entre 3 et 5 séries de 8 à 12 répétitions avec 2 minutes de repos entre chaque série pour les exercices polyarticulaires.
  • 3 ou 4 séries de 10 à 15 répétitions avec 2 minutes de repos entre chaque série pour les exercices monoarticulaires.

 

Pour en savoir plus sur ces types d'exercices, nous vous invitons à consulter l'article : Faut-il choisir entre les exercices polyarticulaires et monoarticulaires ?

 

Pour être certains d’utiliser le poids idéal, vous devez retenir que celui-ci est :

  • Trop lourd si vous n’arrivez pas à réaliser toutes vos répétitions sans dégrader la technique d’exécution des exercices, c’est-à-dire sans tricher avec des effets de balancier ou de rebond et en forçant avec des muscles qui ne sont pas censés être sollicités par l’exercice.
  • Trop léger si vous êtes capables de réaliser plus de répétitions que nécessaire avec une bonne technique d’exécution. Idéalement, vos deux dernières répétitions devraient être vraiment difficiles.

Chacun va à son rythme donc évitez absolument de vous comparer aux autres et d’écouter votre égo en utilisant des charges trop lourdes pour vous ! Vous ne progresserez pas et risquerez de vous blesser !

 

Concernant le tempo d’exécution, le plus classique est de contracter vos muscles sur 1 seconde pendant la phase positive, puis retenir votre charge sur 2 ou 3 secondes pendant la phase négative (ces tempos peuvent se noter 0.1.0.2. ou 0.1.0.3.).

A noter que le plus important est de bien retenir votre charge pendant la phase négative du mouvement pour ne pas vous laisser entraîner par le poids. De ce fait, ne comptez pas le tempo si vous perdez votre concentration, donc votre force et votre efficacité. De toute façon, au fil des séries et de la fatigue nerveuse, vous n’arriverez plus à suivre rigoureusement vos tempos.

 

Concernant le nombre d’exercices et la fréquence de vos séances d’entraînement, cela dépendra encore essentiellement de vous, c’est-à-dire de :

  • Votre niveau d’intensité sur chaque exercice : que vous fassiez 3 ou 8 exercices par groupe musculaire, ça n’a pas réellement d’importance si votre niveau de stimulation est le même. Cela dépendra plutôt de votre capacité de récupération, du type d’exercice que vous choisissez (polyarticulaire ou monoarticulaire ainsi que charges libres, machines, poulies ou cadre guidé) et du nombre de série.
  • Votre niveau de pratique et capacité de récupération : Plus vous progresserez, plus vous aurez besoin d’augmenter le volume de vos entraînements et donc de temps pour récupérer complètement. Vous devrez donc ajuster votre programme et faire attention au risque de blessure et de surentraînement.
  • Du temps dont vous disposerez quotidiennement et par semaine : ce temps déterminera en grande partie le type de programme que vous devrez choisir pour progresser.
  • Le type de programme choisi : Il existe plusieurs types de programme tels que le full body, le half body ou les splits comme le « Push Pull Legs ». Or, chaque type de programme implique une fréquence d’entraînement et un nombre d’exercices par groupe musculaire différent. A noter que les débats font toujours rage pour savoir quel est le meilleur programme. Néanmoins, un full body bien conçu sera toujours plus efficace qu’un split mal structuré et inversement.

Il faut d’ailleurs retenir que vos muscles ne reconnaissent pas un nombre d’exercices, de séries ou de répétitions par semaine mais bien un volume total de stimulation.

Par conséquent, gardez à l’esprit que le trop et l’ennemi du bien ! Pour durer, il faudra donc expérimenter, privilégier la régularité à la quantité et vous assurer que vous progressez.

Voici tout de même quelques données repères pour la prise de masse musculaire. Pour un bon volume total de stimulation par semaine, il faudrait réaliser :

  • Entre 16 et 20 séries par grands groupes musculaires comme le dos, les pectoraux, les jambes ou les épaules, sans compter les séries d’échauffement.
  • Entre et 10 et 14 séries de travail pour les plus petits comme les bras ou les mollets, sans compter les séries d’échauffement.
  • Plus de séries sur vos points faibles et un peu moins sur vos points forts, quand vous aurez un peu d’expérience et donc bien développer votre masse musculaire.

A vous ensuite de déterminer la fréquence, le nombre d’exercice et donc le type de programme qu’il vous faut pour y parvenir. Cependant, si vous êtes débutants, ne vous focalisez pas sur ces nombres de séries par semaine. En effet, si vous êtes réguliers et rigoureux, vous progresserez significativement même avec un volume plus faible.

A noter que dans de prochains articles, nous détaillerons les différents types de programme, la manière d’élaborer et structurer son propre programme d’entrainement ainsi que des exemples de routine.

Pour conclure ce guide sur l’hypertrophie musculaire, vous devez retenir que :

  1. Suite à une tension très importante et inhabituelle (micro-lésions), vos muscles vont devoir récupérer et vont provoquer une synthèse protéique (une hypertrophie) afin de se développer et se renforcer dans le but de supporter plus facilement une nouvelle tension similaire.
  2. Les 3 facteurs primordiaux de la prise de masse musculaire sont un entrainement, une alimentation et une récupération de qualité.
  3. Les 5 facteurs d’hypertrophie induits par l’entraînement sont la tension de contraction, la tension d’étirement, le temps sous tension, le stress métabolique et la congestion.
  4. Votre méthode et programme d’entraînement doivent être personnalisés, donc vous devrez expérimenter.
  5. Quel que soit votre programme, tant que vous progressez avec, cela signifie que c’est celui qui vous correspond.
  6. Tant que vous progressez, faites preuve de discipline et conservez votre programme jusqu’à ce que vous n’ayez plus de résultat.
  7. Il n’y a pas de science exacte. La régularité est la clé du succès en musculation !

Vous connaissez désormais les savoirs de base sur le fonctionnement des muscles et de l’hypertrophie musculaire. Ainsi, vous pouvez vous entraîner plus efficacement et intelligemment tout en comprenant mieux en quoi votre méthode ou votre programme d’entraînement est censé vous y aider. Cependant, encore une fois, un programme d’entraînement n’a des chances d’être efficace que s’il est adapté à vous et seulement vous !

De ce fait, si quelqu’un vous vend une méthode ou un programme « clé en main » censé être universel, fuyez !

De plus, ne suivez jamais une méthode ou un programme d’entraînement aveuglément au risque d’en être totalement dépendant. En effet, comme n’importe quel sport, pratiquer la musculation vous demandera de faire l’effort d’acquérir un minimum de connaissances et de ne pas avoir peur d’expérimenter (et vous tromper) pour obtenir des résultats significatifs dans la durée.

Par conséquent, surtout si vous débutez, n’hésitez pas à faire appel à un coach sportif diplômé d’Etat pour vous aider ! En effet, en plus de vous motiver et vous accompagner pour atteindre vos objectifs, sa mission est de vous transmettre son savoir et ainsi vous rendre autonome dans la pratique de ce sport.

Pour vous aider, retrouvez notre article : « Comment bien choisir son coach sportif ? »

Je compte sur vous, n’oubliez jamais pourquoi vous avez décidé de changer et que la seule personne à surpasser est celle que vous étiez hier !

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